Scritta da: Cristina Metta

A Jacqueline (Miu)

Et quand l'heure vient. Ode à la providence.
A puiser dans tes mots la source de mon tourment
a ne plus jamais rêver éveillè que de ton sein
spectateur obscène de mon propre délitement,
d'un lâche renoncement le bonheur m'étreint
quand des tréfonds de ton cœur indolent
s'annonce triomphante la lumière de notre destin

a jamais démenti notre orgueil improbable
quand meurtris et repus de nos phrases assassines
s'impose à nos cœurs ta sentence immuable
et qù à l'ombre de tes mystères s'éclairent nos pudeurs sibyllines,
le tumulte cesse et mes yeux embrassent l'ineffable,
quand de ton verbe divin s'embrase le visage de jacqueline
jean marc bennet - 2017.
Composta giovedì 27 aprile 2017

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